Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Parc de sculpture
L’œil de la terre de Jean-Yves Vigneault
L’œil de la terre de Jean-Yves Vigneault, créée, à partir de la silhouette d’une feuille de peuplier découpée dans une plaque d’acier. L’une des pièces est posée au sol, remplie de sable, et l’autre est utilisée pour créer une structure, une forme pouvant être associée à une barque ou selon le point de vue, à un œil. Un œil qui, comme le souligne le titre, appartiendrait à la terre, posant un regard à la fois sur le monde souterrain et sur le monde extérieur
Des propos héroïques de Robert Saucier (œuvre disparue)
Des propos héroïques de Robert Saucier qui sont exprimés par le trépied et ses instruments de visée posés sur une pierre, représentant la conquête par l’être humain d’un sommet, de la nature, de la géographie. Ces propos sont quelque peu ironiques, puisque la lunette d’approche vise le sol à l’image d’une vision étroite et limitée qui prévaut souvent sur une vision plus entière et intelligente des choses. En 2017, l’œuvre a fait l’objet d’un vol.
À la terre retournée de Jacques Baril
La sculpture de Jacques Baril, À la terre retournée, est formée d’une structure métallique à l’image de ces cages empruntées par les mineurs pour se déplacer dans les galeries de mines, faite en acier corten dont la patine de couleur rouille évoque le feu à l’origine de la terre. À l’intérieur, il a placé des outils, rappel de l’activité humaine, et ces outils, comme leurs utilisateurs, sont dans l’ombre. Mais telle une éclaircie au cœur de cette structure froide, s’érige une colonne de silice blanche, symbole d’espoir et de libération
Terre Minée de Bill Vazan
L’œuvre de Bill Vazan, Terre Minée, est composée d’un amoncellement de six pierres issues de la gravière de la Mine Béliveau. Ces pierres sont marquées par les traces de forage et l’artiste y a dessiné, au jet de sable, une série de tracés symbolisant les galeries de mines, comme celles qui marquent le sous-sol valdorien. Ce faisant, il rappelle la nature de l’intervention humaine sur la géographie naturelle, réintroduisant « … l’être humain dans le paysage ».